CINEMA - Script Line

QUAND LE VENT TOURNE – 52′ – VF

CATALOGUE, DOCUMENTAIRE : 52′

Catégorie : Société – Sous catégorie : Environnement

Titre : QUAND LE VENT TOURNE
Réalisation : Marion Angelosanto
Production : LA JOLIE PROD
Durée : 52′
Livraison : Mai 2023
Langue : Français
Version (s) disponible (s) : VF
Droits disponibles : World

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Synopsis :

Charnizay, 500 habitants. Dans cette commune agricole d’Indre et Loire, une enquête publique s’ouvre autour du projet d’implantation de quatre éoliennes. Modeste contribution à la lutte contre le réchauffement climatique pour les uns, arme de destruction des paysages, du patrimoine et de l’économie pour les autres : les éoliennes divisent le village et ses habitants. Durant quatre semaines, les Charnizéens de tous bords défilent devant les commissaires enquêteurs pour plaider leur cause et faire triompher leur vision du territoire. Alors que les néo-ruraux forment un bataillon d’anti-éoliens combatifs, les natifs du cru accueillent les éoliennes comme un signe des temps, entre résignation et indifférence. Tourné comme un film choral, cette comédie humaine s’interroge sur ce que nous sommes prêts à sacrifier de notre présent dans l’intérêt des générations futures.

MELVILLE, the last Samouraï – 52′ – VF & VI

CATALOGUE, DOCUMENTAIRE : 52′

Catégorie : Art et Culture – Sous catégorie : Portrait, Cinéaste

Titre : MELVILLE, LE DERNIER SAMOURAI
Réalisation : Cyril Leuthy

Musique : Eric Demarsan
Production : ROCHE PRODUCTIONS
Durée : 52′
Livraison : 2019
Langue : Français & Français sous-titré anglais
Version (s) disponible (s) : VF & VI
Droits disponibles : World except Switzerland and France

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Synopsis :

« Un ami m’a dit un jour : tu es le seul cas de réussite par l’intransigeance que je connaisse ». Jean Pierre Melville a toujours été un loup solitaire et, s’il appartient aujourd’hui au panthéon du cinéma, il a construit toute sa carrière en dehors du système, traçant un chemin unique pour réinventer le film noir.

Ses films, à la fois personnels et populaires, sont devenus des chefs d’œuvres encensés dans le monde entier : L’Armée des ombres, le Cercle Rouge, le Samouraï…

A travers des extraits de ses films, avec de nombreuses archives, avec l’éclairage précieux de sa famille et de ses anciens collaborateurs, comme les cinéastes Volker Schlöndorff et Bernard Stora, le film explore la part intime d’un homme et met en avant un destin quasi romanesque : héros de guerre, seul cinéaste possédant ses propres studios et même père spirituel de la Nouvelle Vague.

Melville s’est très souvent laissé filmer. Mais il reste une énigme… Il s’est construit un personnage « bigger than life », surdimensionné : avec son éternel Stetson, ses lunettes sombres et son trenchcoat mastic, il arbore dans la vie le même costume de ses personnages interprétés par Alain Delon, Lino Ventura ou encore Jean-Paul Belmondo. Un véritable masque. Il a même inventé son propre nom. Son histoire est celle d’un homme qui n’était pas à l‘aise dans son temps, un nostalgique défendant des valeurs qui n’ont plus cours.

Philippe Labro dit de lui : « Il était en même temps l’homme le plus voyant et le plus dissimulé ». En lui rendant la parole, le film lève une partie du voile.